Dernière mise à jour : 23 octobre 2005

Gasaraki

Titre original Gasaraki

Auteur Meimu

Genre Science-Fiction

Nombre de volumes
Japon :  4 (fini)
France :  4 (fini)

Années d'éditions
Japon : 1998 - 2000
France : 28 mars 2002 - 05 septembre 2002

Editeurs
Japon : Kadokawa Shoten Publishing Co., Ltd.
France : Génération Comics

Lors d’une cérémonie où il tente d’invoquer la puissance du Démon Gasara, Yûshirô Gôwa, descendant d’une lignée d’invocateurs de démons, fusionne pendant un bref instant sa conscience avec celle d’une mystérieuse jeune fille, Miharu. Quel est ce lien qui existe entre eux ? Et pourquoi semble t’elle liée à la destinée qu’on lui a imposée ? Yûshirô, aux commandes de son armure de combat la T.A. (Tactical Armor) part pour le front dans l’espoir de trouver la réponse à ses questions. (texte repris à l’arrière du tome 1)

° Ce manga est une adaptation de la série du même nom diffusée en 1998/1999 au Japon. Cependant c’est une vision à part de l’univers de Gasaraki qui nous est proposée par Meimu, qui n’a rien à voir avec le staff de la série originelle.

L'histoire : Intéressante de par son univers high-tech avec des mechas en y mélangeant des éléments traditionnels Japonais (famille spirituelle). Mais c’est pas aussi simple qu’il n’y paraît, & tout s’embrouille assez vite >_< (peut-être du au fait que n’ayant pas encore vu la série, je ne suis pas familier avec l’univers de Garasaki) avec vers la fin des histoires de réincarnations successives (ils nous ont même servi Jeanne d’Arc !) ce qui accentue le passage en sucette du récit.
Les dessins : De bonne qualité c’est un fait, les principaux protagonistes sont dessinés clairement, les scènes de combats de méchas sont bien rendues, l’effet de dynamisme est là & comble le fait qu’il n’y a pas d’animations.
L'ambiance : Gasaraki manga mise sur un ton très adulte ce qui peut le rendre pas très captivant, pas mal de baratins politiciens & militaires, c’est pas vraiment ce que j’aime lire… Résultat j’avais l’impression de piétiner en tournant les pages pendant ma progression dans le récit. & la fin arrive vite & on se tape les trucs récurrents déjà-vus dans Evangelion ou RahXephon… Au moins ça me donne envie de regarder la série TV, c’est déjà pas si mal :p.