Dernière mise à jour : 17 juin 2006

Fuli Culi

Titre original Furi Kuri

Auteur Hajime Ueda

Genre Humour Unique - Fantastique

Nombre de volumes
Japon :  2 (fini)
France :  2 (fini)

Années d'éditions
Japon : Octobre 2000 – Août 2001
France : 18 novembre

Editeurs
Japon : Kadokawa shoten Publishing Co. Ltd
France : Pika Edition

Naoto Nantaba, jeune garçon tout ce qu'il y a de plus normal, va voir sa vie basculer dans la folie la plus totale ! Alors qu'il rentre tranquillement chez lui avec Mamimi Saejima (l'ex petite amie de son frère) une extra-terrestre en vespa jaune va lui donner un violent coup de guitare électrique en pleine figure ! Pour couronner le tout, quand Naoto finit enfin par rentrer chez lui (dans un sale état) c'est pour découvrir que son père a engagé Haruko Haruhara, l'extra-terrestre en question, pour s'occuper de la maison !

° Ces manga sont une adaptation alternative des OAVs du même nom qu’on ne présente plus.

L'histoire : Pour moi c’et clair que ça sentait le déjà-vu ! Ce n’est pas un mal pour autant étant donné que j’avais bien aimé les OAVs, à défaut d’avoir tout bien compris XD. De ce côté-là on peut affirmer sans aucun mal, que ce manga est fidèle à son support initial et que l’on retrouvera des moments assez cultes. Par contre il semble que la fin diffère, mais il également possible que je me trompe…(défaut de mémoire de ma part ?)
Les dessins : C’est surtout ici que ce manga fait la différence avec tout ce qui existe dans ce petit monde ! On le constate déjà rien qu’avec les couvertures, et cela se ressent encore plus lorsque l’on avance et qu’on tourne les pages. Après au libre arbitre de chacun c’est certain concernant le fait d’apprécier ou pas le style graphique imposé ici. C’est un style relativement épuré qui ne passe pas par des dégradés, ou alors très peu quand il y en a, c’est assez uniforme en tout cas sur les couleurs (bien qu’un manga ne soit pas en couleurs, je sais :p). Les traits extérieurs donnent un air de vulgaire étant donné qu’ils sont épais à la base et parfois c’est encore plus poussé pour renforcer l’aspect de certaines scènes plutôt spaces. On a parfois l’impression de voir des tags lors de certaines pages, tellement ça peut être confus, et parfois avoir des doubles pages sur lesquelles ne figure presque rien pour renforcer l’aspect paisible du moment. Une sacrée curiosité et un style audacieux qui porte ses fruits dans le cas présent.
L'ambiance : Comme pour l’histoire, on se retrouve avec du vécu et on retrouve les moments de pure déjanterie qui donnent l’identité de FLCL, que dire de plus ?