Kengo entame une journée qu’il croit comme les autres, un entraînement forcé avec son grand-père, son ami Ryo vient le tirer de ce mauvais pas pour qu’ils aillent en cours ensemble accompagnés des frangines Hitomi et Futaba, c’est alors que déboule le rival de Kengo, Tadoki qui s’est déjà fait rétamer 48 fois, mais qui revient encore une fois à l’assaut ! Mais cette fois suite à un gros coup du destin (un coup de vent qui donne des visions de rêve pour n’importe quel homme digne de ce nom) il se prend un coup fatal et se fait démolir ! Sur le chemin du retour il voit une fille sur le point de se faire percuter par un camion, il la sauve, mais va perdre connaissance et faire un rêve pour le moins étrange...

° Ces OAVs sont tirés d’un jeu hentai du même nom sorti sur PC au Japon uniquement (pas sûr étant donné que le site d’Eve est HS :/).

Dès les premiers instants à la vue du design et de l’animation catastrophique de ce titre, je sentais que j’allais perdre mon temps, donc vengeance par le pouvoir de la sainte fiche ici présente !!! Alors Boundary, c’est donc une réalisation lamentable qui ferait penser à un studio amateur, ou bien à une blague faite par des otakus pervers dans mon style totalement bourrés qui ont tenté de faire leur propre auto-production, mais non, il s’agit bien d’une production d’un studio officiel spécialisé dans le genre ! Incroyable mais vrai ! Donc le design est franchement limite comme le prouvent les captures de personnages, l’animation a probablement été faite avec un PII doté de 64Mo de RAM et ce qui est encore plus magnifique/magique/incroyable/naze/voyant (choisissez une seule réponse :p) c’est qu’à 2 reprises au cours du visionnage on s’aperçoit que le checkeur a dû somnoler et a oublié de faire son travail, je m’explique : lors de passages « animés » de bas en haut, on voit carrément un vide horizontal correspondant au fait que le bord du calque superposé au fond est disposé à quelques centimètres du bord de l’écran, je sais pas si j’ai été clair, mais c’est vraiment grave une bourde pareille ! Pour continuer ce constat grandiose, l’histoire est assez risible, avec des histoires de réincarnation dans le monde du rêve, avec des elfes, des hommes-animaux et évidemment des trucs humanoïdes noirs, visqueux et abonnés aux vices de la luxure qui vont s’en prendre aux filles… A vrai dire je ne me souviens plus trop de la fin, mais ça devait être potable, et surtout on se sentait délivré d’un poids, celui de la daube que l’on venait de se farcir, franchement fuyez cette chose infâme !

4 DVDs au Japon, pour l’instant cette daube n’est pas prévue ailleurs :p.